Je l’ai tenté… J’avais pourtant bien préparé mon coup :
rencardé le Père Noël pour que le Train’in box soit livré à temps, agrandi la
cheminée pour que le coffret puisse y passer (il a presque plus d’embonpoint
que le brave homme à la capuche rouge), invité mes deux filles et leurs
compagnons respectifs à rejoindre leurs « chers » parents pour
« la belle nuit de Noël ». Force est aujourd’hui de constater que
j’ai toujours le Train’in box sur les bras. Chronique d’une déception annoncée,
il y avait ce soir-là un terrible concurrent et des challengers prévisibles.
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Première
manche perdue. J’ai tenté d’autres arguments, ils m’ont opposé le manque de
place. J’avais encore du répondant. En fin de réveillon, les deux couples ont
chacun dégainé une carte d’atout qui ne pouvait que me laisser KO. Deux photos
valent bien mieux qu’un long article :

Il n’est pas envisageable que deux si mignonnes chattes
puissent faire de ce petit mètre-carré de bonheur leur terrain de jeu et
d’entrainement pour leurs griffes. Il n’est pas imaginable que des jeunes
parents puissent délaisser un si joli bébé pour assembler des plaques de carton
et des coupons de rail.
Je me dis quand même que dans quelques années, le bébé
aura grandi, et que même si c’est une fille, une fois que ses parents
accepteront de la confier aux grands-
parents, peut-être que… Il y aura sûrement une nouvelle version du Train’in box, ils auront agrandi la maison, l’informatique et la radiocommande seront encore plus au cœur de notre passion... Laissez-moi rêver car, pour le moment, j’ai un Train’in box sur les bras que le Père Noël n’a pas voulu venir
reprendre !
accepteront de la confier aux grands-
parents, peut-être que… Il y aura sûrement une nouvelle version du Train’in box, ils auront agrandi la maison, l’informatique et la radiocommande seront encore plus au cœur de notre passion... Laissez-moi rêver car, pour le moment, j’ai un Train’in box sur les bras que le Père Noël n’a pas voulu venir
reprendre !